Au pied d'un arbre où .....[ PV Shiro-chou]

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Sortir. Ce mot résonnait dans la tête de Karei depuis le début du matin. Elle avait mal dormi la nuit ; elle avait mal partout, surtout à la tête, et elle n’arrivait pas à se concentrer sur ses devoirs. Merde ! Elle jeta son stylo plume de l’autre côté du bureau, c’était la deuxième fois qu’elle faisait la même analyse. Depuis toute à l’heure, elle essayait de faire un commentaire sur une œuvre artistique mais rien. Reprenant la plume qu’elle avait jetée, elle la mordilla sans faire attention. La jeune Yakewa se laissa attirer par les enfants qui jouaient dans le parc d’en face. Sortir. Maintenant ! Cela faisait à peine deux jours qu’elle était en vacances et elle en avait déjà marre de rester chez elle. Voila pourquoi elle avait entamé ses devoirs si tôt. Des pas résonnèrent dans les escaliers qui communiquaient les appartements de Karei avec le reste de la maison qui était occupé par son père, laissant de cette manière toute liberté à Karei qui pouvait sortir et rentrer quand bon lui plaisait sans que personne ne le sache. Quelqu’un frappa à la porte, sans doute Itoshi qui venait pour voir si sa fille chérie était en vie ou si elle avait sauté par la fenêtre. Avec résignation, Karei se leva et entrouvrit la porte pour se retrouver devant un homme d’affaires prêt à partir en voyage. Il devait prendre l’avion ce soir pour aller aux Etats-Unis, il en rentrerai que dans deux jours. Une fois parti, Karei n’hésita pas, elle prit sa bandoulière et se chaussa pour sortir.

Enfin ! Karei n’est pas ce genre de filles qui éprouve le besoin d’être tout le temps dans la rue mais par fois, la nécessité la prenait de sortir et se « relationer » avec les autres. Bien qu’elle évitait ces derniers comme la peste. Elle marcha vers les parcs où elle s’acheta un hot dog ; passant devant l’étang, elle jeta les quelques morceaux de pain qui lui restait pour les poissons rouges ; elle s’arrêtait devant chaque cinéma qu’elle voyait pour voir les affiches des nouveaux films ; elle entrait dans les librairies pour y jeter un coup d’œil mais elle sortait de chaque boutique les mains vides : le shopping n’était pas fait pour elle. Et sans savoir comment, elle se trouvait à présent sur une colline qui dominait la ville de Kimyoo. De là, elle pouvait contempler toute la ville ainsi que l’océan qui entourait les côtes et un peu plus au loin, de l’autre côté, elle apercevait vaguement les silhouettes des montagnes qui se détachaient à l’horizon. Le souffle entrecoupé par la montée, Karei admira le paysage qui s’offrait à elle, la lumière du soleil couchant rendait ces derniers d’autant plus beaux. Saisi par cette beauté, la jeune Yakewa se laissa tomber contre le tronc d’un arbre et elle resta là sans rien faire d’autre que regarder. La solitude des lieux la calmait, elle sommeillait presque si ce n’était le fait qu’elle avait l’envie de tout graver dans sa mémoire, mais le sommeil la prenait peu à peu et elle ne pouvait plus résister à l’appel de Morphée.

Lentement, sa tête se pencha d’un côté, ses yeux se fermèrent et son visage devint calme. Toute expression de dureté qui gâchait ses traits lorsqu’elle était éveillée disparurent, c’était comme si elle était retournée en enfance. Ainsi, elle ne se rendit pas compte qu’elle n’était plus seule au sommet de la colline.

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Encore une jourée seul, dehors, il n'avait toujours pas trouvé son protégé dans cette ville. Il en était même venu à douter qu'il y ai quelqu'un pour lui ici. Et puis comment serait-il qui serait la bonne personne. Trop compliqué pour l'ésprit du jeune ange, il était cloitré dans la chambre d'hôtel qu'il payait difficilement. Shiro devait sortir, se rafraichir les idée mais, se promener dans la ville n'avait jamais été son fort, les espaces verts lui étaient beaucoup plus plaisant, ils lui étaient appaisant. Le jeune homme était rapidement sortit de sa chambre et s'était diriger dans n'importe quel sens. Le bruit de la ville, ça lui était désagréable, le calme était pour lui si resourcant que son opposer lui était insuportable. Après avoir marcher quelques heures dans la rue sans aucun but précis il finit par remarquer au loin une colline. C'était sans aucun doute le meilleur lieu possible pour qu'il réflèchisse et trouve des solutions à ses problème. Ainsi il s'y dirigeat rapidement d'un air un peu triste. Il aurait tant aimé pouvoir y être avec elle...Il voulait se convaincre qu'elle avait totalement disparue de ses pensées mais dans son monde intérieur elle était reine. C'est elle qui lui permettait de vivre, de marcher, de penser, de pleurer...Il se devait de la chasser de son esprit mais, comment l'oublier. La seule personne qu'il avait vraiment aimer. C'est avec cette mélancolie qu'il parvint à la colline. La vue était plus que magnifique, cela donnait envie d'y rester éternellement. Le lieu était surplombé d'un grand et belle arbre. Aucun bruit à part le souffle du vents ne venait troubler ce magnfique paysage.

En examinant de plus près l'endroit qu'il croyait désert il pu voire une personne appuyée contre cet arbre. Tout d'abord il ne voulait pas l'interpeler, si elle était là surement qu'elle cherchait elle aussi le calme. Il déscida donc de s'installer dans un coin opposer. Il fixait le ciel tout en soupirant. Pourquoi perdait-il son temps à rêvasser ici alors que le plus important c'était son protégé, quelle idiot il pouvait bien faire. La curiosité devint de plus en plus forte, l'autre personne, qui était-elle ? Que fessait-elle là ? Peut-être pourrait-il se risquer à aller là dérangée. Il se leva et d'un pas lent arriva à la hauteur de cette autre personne. C'était une jeunne femme...Une sensation étrange l'avait, dès qu'il l'avait apperçue parcouru, maintenant c'est comme si il savait pourquoi il était là. Cette personne était sa protégée maintenant il ne pouvait plus en douter. Sa avais été comme une révélation, un peu comme les coups de foudres dans les films...Qu'allait-il bien pouvoir lui dire ? Fallait-il qu'il soit explicite ou alors implicite. Bon pour l'instant il devait juste se présenter et instaurer un dialogue. Ce serait déjà bien.

-Salut, dis moi sa te dérange si je m'assois près de toi ?

Sans même attendre une réponse il s'installa et commença à fixer la jeune femme. Elle semblait endormie, il n'allait quand même pas la réveiller ? Si ? Ben il devait bien se faire voir. Tout doucement il approcha son visage du sien et se mit à la fixer étrangement.

-Tu dors ?...

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Le soleil avait presque disparu à l’horizon et la lune faisait son apparition. Les deux astres ses défiaient à leur manière. Mais le soleil perdit et tomba dans l’oublie pendant que la lune s’asseyait sur son trône bleu obscur. Les oiseaux avaient regagné leurs nids pour y passer, au fond, la ville s’allumait. On pouvait distinguer à présent toutes ses avenues en feu. Le ciel se confondait avec l’horizon, ils ne faisaient qu’un.

Assoupie comme elle était, Karei n’avait pas entendu l’arrivée du jeune homme. Elle ne répondit pas donc à la première question et ne le remarqua pas quand il s’assit à côté d’elle. Mais peu à peu, elle émergeait du sommeil. Elle présentait les symptômes de ceux qui ne veulent pas quitter le pays de rêves pour se retrouver devant une réalité monotone. « Tu dors ?» Ces mots la sortirent complètement du transe. Ils lui parvinrent jusqu’au cerveau comme un sceau d’eau froide. Elle était enfin revenue au monde des vivants qui ne dorment pas. Oui, elle dormait mais dans un temps passé. Maintenant qu’elle était réveillée, impossible pour elle de se rendormir, et moins avec quelqu’un dans les parages qui lui posait des questions qui a première vue sont inutiles devant l’évidence des faits. Elle émit un étrange grondement avant de s’installer plus confortablement contre l’arbre. Par contre, elle avait toujours les yeux fermés quand elle répondit au garçon avec un ton sec qui se voulait réprobateur.

- Correction. Je dormais…

Elle ouvrit enfin les yeux et se retrouva avec un inconnu à quelques centimètres de son visage. Une expression de surprise se dessina sur ses traits, que fait-il là, devant elle ? De la stupeur, la visage de Karei passa à l’interrogation. Elle avait haussait légèrement les sourcils en signe de questionnement. Une explication ne ferait pas de tort. Surtout qu’elle était toute seule il y a quelques minutes et que le jeune homme était un inconnu. N’importe quelle fille aurait rougit et envoyait une baffe. Mais Karei avait l’impression que si elle faisait ce dernier elle ferait trop mal au garçon tellement il avait l’air fragile. Elle resta donc calme mais prête à se défendre si l’inconnu n’avait pas des bonnes intentions.

-Je trouve qu’une petite explication pour connaître la cause de ce dérangement est nécessaire, non ?

Elle en faisait pas un peu trop juste parce qu'il l'avait réveillé ? Sûrement, mais bon, elle en faisait presque toujours un peu trop pour des choses aussi futiles que celle la. Ce qu’elle voulait en vérité, était de savoir pourquoi le garçon semblait si irréel. La couleur de ses cheveux et l’œil qu’elle pouvait voir n’avait rien d’humain. Elle n’avait rien à dire su ce sujet vu que ses yeux étaient chaque un d’une couleur différente… Elle passa une main dans ses propres cheveux et ensuite elle la passa sur son visage pour essayer de s’éliminer les traces de sommeil qui restaient encore dans ses yeux fatigués. Elle ne se gêna pas quand elle se mit à fixer le jeune inconnu. Elle avait le droit, non? Il l'avait bien fait lui avant... elle n'était pas sure de cette dernière pensée vu qu'elle dormait profondément. De toutes manières, qui lui avait dit de se laisser assoupir sur la colline?

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Le jeune ange n'avait césser de la regarder. Pour l'instant, elle dormait encore paisiblement. Un petit sourire vint alors s'afficher sur son visage. C'était un assez belle jeune fille, agréable à regarder il ne fallait pas le cacher. Son visage était toujours aussi près du sien, il ne pouvait détacher le regard de sa future protégée, sensation étrange qu'il éprouvait pour elle. Quelque chose qui pour l'instant ne lui était pas vraiment très clair. Son unique oeil visible la dévisageait. Des cheveux ébène, un visage plaisant, très, très très agréable à regarder. A ses yeux, elle était plus qu'exquise, une magnifique jeune femme. L'idée de passer ses journées auprès d'elle pour la protéger ne lui était déjà pas désagréable mais après l'avoir apperçue il ne pouvait qu'en être plus heureux. Endormie, elle était si paisible, presque envoutante, Shiro aurait pu rester à la fixer dans cet état toute la soirée. Son petit sourire n'avait toujours pas disparut, comme si la fixer le rendait joyeux, chose impensable, la seule personne qui avait pu provoquer cette réaction chez lui, c'était la seule personne qu'il avait aimé, celle qui l'avait abandonné...Même avec ses pensées mélancoliques, il gardait toujours se sourire étrange celui qui réservait d'habitude à sa bien aimée. Son visage toujours à quelques centimètres de la fille, il la regardait toujours sans s'arrêter, heureux dans sa contemplation.

Enfin, un mouvement de la part de la jeune femme. Elle s'était réveillée, même si elle n'avait pas les yeux ouvert, d'après le mouvement et l'étrange bruit qu'elle venait de faire, la réveiller n'avait pas été une si bonne idée. Cependant il ne recula pas son visage, presque immobile. Une réponse à sa dernière question d'un ton qui semblait le confirmer dans l'idée que peut-être il aurait dû la laisser dormir "Correction. Je dormais..". Maintenant il n'était pas difficile de penser que la femme lui en voulait de l'avoir réveiller. Que pouvait-il bien dire ? Dans un sens il était heureux qu'elle soit lévée puisqu'il pourrait lui discuter mais dans un autre, un peu honteux de l'impolittesse dont il avait fait preuve envers elle. Il baissa la tête un instant, les mots lui échapaient. Dans un moment pareille, le jeune ange était pour la plus part du temps désarmé. Il cherchait bien ce qu'il pourrait lui dire, qu'est ce qu'il pourrait bien faire. Shiro ouvrit la bouche puis réflèchit encore un instant et en le prononcant presque comme un soupire il s'excusa.

-Excuse moi...Vraiment désolé...

Rien d'autre, rien d'autre ne lui vint à l'esprit. Sa tête encore très près de celle de son interlocutrice, il l'a vu ouvrir les yeux. C'est ainsi qu'il découvrit quelque chose qui accuenta encore plus le charme de la fille. Deux yeux magnifiques, des yeux pas comme les autres, une couleur diffèrente pour chaque pupile. Comment pouvait-il ne pas tomber sous le charme...Enfin il ne devait pas, déjà une fois, il s'était risquer à offrir son amour et on l'avait abandonné. Le jeune homme était seulement là pour la protéger, il ne devait pas faire ce que son ange et lui avait fait. De toute façon, il ne méritait plus l'amour, il l'avait perdu pour de bon. Ainsi il ferma les yeux, enfin son unique visible des autres pour se débarasser de toutes ses pensées encombrantes et sûrement inutiles. Une explication, c'est ce qu'elle voulait. Bien, de toute façon il allait lui en donner une, explicitement, il allait lui dire qu'il était là pour elle. Enfin pour la protéger. Ainsi il approcha son visage encore plus près d'elle puis sourit encore une fois. Il ouvrit la bouche puis contrairement à quelques minutes plutôt il savait déjà quoi dire.

-Je suis là pour toi...Je dois rester avec toi.

Parole qui pourrait passer pour celle d'un mauvais dragueur mais Shiro l'avait dit avec une intonation de voix qui ne donnait pas l'impression qu'il en était un. Il ne recula toujours pas son visage laissant son sourire s'aggrandir encore un peu.

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Les deux jeunes gens se détaillaient sans fin. Karei était si absorbée par l’apparence irréelle de l’étranger qu’elle ne remarqua pas que celui-ci faisait la même chose. Elle ne savait pas d’où venait ce jeune homme ni pourquoi il se trouvait à quelques centimètres d’elle. Normalement, elle aurait gueulé et donné une baffe bien méritée à ce voyou mais quelque chose l’en empêchait. La situation la gênait en quelque sorte, elle n’avait pas pour habitude d’être « admirée ». Cela ne voulait pas dire qu’elle était ignorée, qu’elle n’exerçait aucune attraction sur les gens mais elle évitait plutôt le contact humain. Un peu de rouge lui monta aux joues quand l’inconnu s’approcha un peu plus d’elle. Qu’avait-il derrière la tête ? La mettre dans tous ses états ? L’inconnu avait l’air heureux quand elle s’était réveillée, peut-être qu’il voulait tout simplement lui demander quelque chose, il était perdu, il avait donc besoin d’aide. Si c’était pour cela qu’il l’avait réveillé, Karei pouvait faire une exception et apporter de l’aide. Mais si c’était pour la draguer ou autre, il perdait son temps comme celui de la jeune femme. Soudain, l’expression de son visage changea. Il baissa la tête un moment, comme s’il était honteux de son comportement, mais il cherchait ses mots à ce que pu voir la mortelle : il ouvrit la bouche mais rien ne sortit avant un simple désolé. C’était déjà quelque chose, au moins il avait la politesse de s’excuser. Karei s’étira un peu, notamment les bras qu’elle ne sentait plus. Elle se redressa un peu aussi, détachant ainsi son regard de celui de l’inconnu. Elle eu un peu de mal, soyons honnêtes.

- Excuses acceptées. Mais si on se rencontre un autre jour, dans la même situation, je te prierais d’être plus délicat. Je ne suis jamais de bonne humeur lors des réveils et je ne pense pas que tu apprécierais de voir une folle.

Elle avait remarqué comment il avait regardé ses yeux tout à l’heure. C’est vrai qu’ils n’étaient pas courants, voire rare, mais elle n’aimait pas que les gens les dévisagent. Mais bon, c’était une chose qu’elle ne pouvait pas éviter, comme le fait qu’elle ait perdu sa mère quand elle était petite. Les souvenirs de cette tragique journée firent surface. La jeune femme avait horreur de ces souvenirs, surtout qu’avec le temps, ils étaient chaque fois plus nets. Elle avait de quoi ne pas supporter ces visions. La perte d’un être cher est toujours quelque chose de très douloureux, surtout si cela est survenu quand on est petit. Karei chassa ses pensées nostalgiques d’un mouvement vif de la tête et se mit à contempler le ciel. Par contre, elle attendait toujours une explication de la part du jeune homme, s’il pensait être tiré d’affaire si facilement, il se trompait complètement. Etait-ce une raison pour vouloir entendre encore sa voix ? Elle n’avait aucune idée, elle ne savait rien, seulement que l’inconnu s’était encore approché d’elle avec un sourire aux lèvres. Il avait l’air d’être plus sûr de lui. Pardon ? Elle n’avait pas très bien comprit ce qu’il voulait dire par être là pour elle, il devait rester à ses côtés ? C’était la nouvelle technique de drague du coin ? Elle n’était pas fameuse alors, elle laissait de quoi désirer. Karei allait répliquer comme quoi il ferait mieux de se chercher quelqu’un d’autre pour dire ce genre de choses. Mais la manière dont il avait parlé et le sourire qu’il affichait la firent changer d’opinion. L’inconnu n’avait pas l’intention de la charmer par ces belles paroles, il voulait juste lui dire quelque chose mais peut-être qu’il ne savait pas comment le faire, comment le dire. Oui, ça devait être cela, sans aucun doute. Karei le fixa, ne le lâcha pas des yeux.

- Pourquoi moi ? Pourquoi toi ? Pourquoi tu dois rester avec moi ? Tu ne me connais même pas, tu ne sais pas mon nom, je ne connais pas le tien. Tu es tombé du ciel comme ça…

Comme explication, c’était un peu court, beaucoup même. Ces quelques mots ne suffisaient pas pour rassasier la curiosité de la jeune femme qui voulait en savoir plus. Surtout que le jeune inconnu avait allumé ce petit défaut chez Karei.

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